Synopsis Le film est présenté à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes 2021 Jana revient soudainement à Beyrouth après une longue absence et reprend contact avec la vie familière mais étrange qu'elle avait quittée Offres VOD de Face à la mer Toutes les séances de Face à la mer Critiques de Face à la mer On a découvert Manal Issa en 2016 dans Peur de rien de Danielle Arbid où elle campait une jeune Libanaise débarquant à Paris pour tenter d’y trouver une liberté qu’elle n’avait jamais pu trouver dans son pays et de s’y intégrer par sa force de caractère que rien ne semblait pouvoir altérer. Dans Face à la mer, le premier long métrage d’Ely Dagher, son personnage vit exactement le voyage inverse. Installée en France depuis des années, elle revient vivre dans son pays natal et tente de se reconnecter avec cette ville de Beyrouth qu’elle peine à reconnaître. Pourquoi était- elle partie ? Pourquoi a-t-elle choisi de revenir ? Ces questions- là planent en permanence sur un récit qui ne cherchera pourtant jamais à y porter de réponses. Car Face à la mer est un film de sensations, pas d’explications. On le vit dans la tête de cette jeune héroïne – incarnée avec une intériorité majestueuse par Manal Issa - qui vit cette ville comme une sorte d’espace fantomatique dont les habitants- à commencer par ses parents, dopés aux anxiolytiques – semblent dévorés par une léthargie grandissante pendant que la reconstruction incessante des grands ensembles, privent de plus en plus d’entre eux de vue sur la mer et par ricochet d’horizon. Il y a du Antonioni dans la manière dont Dagher fait ressentir cette ville autant ravagée par les guerres à répétition que par la gestion défaillante de ses dirigeants. Un geste envoûtant et hélas prémonitoire. Quelques semaines après le tournage, se produisait l’énorme explosion des entrepôts du port qui allait ajouter du chaos au chaos. Dernières News sur Face à la mer Casting de Face à la mer
Préannoncesde titres de la programmation ! Le festival est dans un peu moins d’un mois et la totalité de notre programmation sera annoncée le 17 novembre. Nous sommes réellement vous (re)voir. Pour que l’attente vous soit moins longue, nous vous dévoilons 8 titres en primeur !
De mémoire de Palavasiens, les séances de cinéma ont toujours fait partie du rituel des vacances. Dans cet ancien village de pêcheurs héraultais, situé sur une étroite langue de sable entre les étangs et la Méditerranée, elles étaient à l’origine organisées en plein air dans la cour de l’école Sainte-Florence, juste derrière l’église étions dans les années 1950 et, à l’initiative de l’abbé Brocardi, les films étaient projetés sur un rectangle de peinture blanche. Les estivants, venus pour la plupart de Montpellier par le petit train, s’y faisaient allègrement dévorer par les moustiques toute la soirée. Depuis la reconversion en station balnéaire dans les années 1960, le cinéma du curé » a laissé place à une salle municipale en dur, logée dans les bâtiments sans grâce qui bordent le front de mer, tout près du port de portée immédiate des estivantsCoincé entre un glacier-restaurant et l’hôtel de ville, le Nautilus a la particularité d’être sans doute l’unique cinéma en France à avoir une vue mer ». Trois grandes baies vitrées, habituellement occultées, longent les rangées de fauteuils de cette imposante salle de 210 places. Comme nous n’avons pas de publicités ou de bandes-annonces, il m’est arrivé pour faire patienter les spectateurs d’ouvrir les stores. Le spectacle est garanti ! », s’amuse Jean-Philippe Marin, dont l’association Cinéplan gère l’établissement depuis une vingtaine d’ séances par jour toute l’année, les mercredis, vendredis et dimanches en fin d’après-midi, et une salle, face à la plage et aux terrains de beach-volley, à portée immédiate des estivants, dont la population est multipliée par plus de dix de 6 000 à 70 000 durant l’été. Il suffit alors d’enfiler un vêtement sur son maillot, de chausser ses tongs, de grimper les deux étages en passant devant l’ancien projecteur 35 mm installé dans les escaliers, pour atteindre la salle. Là, un unique siège bleu au milieu des rangées rouges rappelle que c’est Jean Marais qui a inauguré les lieux, à l’orée des années ici comme ailleurs, la fréquentation est en dents de scie, il nous arrive encore d’avoir des séances à 70 ou 80 personnes », se félicite le gérant. Pendant les vacances, avec une programmation adaptée au public, la sortie au cinéma en famille reste un moment privilégié. Surtout lorsque la séance a lieu sous les forains du cinémaLa spécialité de Jean-Philippe Marin qui, avec sa structure de cinéma itinérant, sillonne les deux départements du Gard et de l’Hérault pour mettre le 7e art à la portée de tous, y compris des habitants des villages de l’arrière-pays. L’été, il déploie ses écrans gonflables, fabriqués sur mesure par une entreprise française de jeux de plage, tout le long du littoral, depuis La Grande-Motte jusqu’à Marseillan et Vias, à l’autre bout de l’étang de projections en plein air, parfois organisées sur la plage, sont les plus conviviales et prennent de petits airs de Cinema Paradiso. Comme dans le film, les gens viennent à la fin de la séance te féliciter comme si c’était toi qui avais fait le film », s’enthousiasme Jean-Philippe Marin. Avec ses fourgonnettes blanches qui transportent ses six équipements mobiles, lui et ses projectionnistes sont sans cesse sur la route. Nous sommes un peu les forains du cinéma, ce qui fait que nous ne sommes pas toujours bien considérés, explique-t-il. Pourtant, c’est l’origine même du cinéma. » Avec cette part d’incertitude et d’improvisation que devaient connaître les pionniers du genre et qui, malgré ses trente années d’expérience, ronge toujours les sangs de Jean-Philippe Marin. Nous sommes comme des régisseurs de spectacle. Notre boulot, c’est régler les emmerdes pour qu’à l’heure dite tout fonctionne. » Et que la magie opère…-À La Grande-Motte, 1 550 spectateurs en une seule séanceLes Minions 2, Il était une fois Gru, sorti le 6 juillet, devrait être le clou des projections en plein air de cet été. C’est d’ailleurs avec le premier volet de ce film d’animation que Jean-Philippe Marin et son cinéma itinérant avaient battu un record celui du plus grand nombre d’entrées en une seule séance. À l’été 2015, 1 550 spectateurs ont assisté à la projection organisée dans le théâtre de verdure de La Grande-Motte, d’une capacité totale de 1 800 places. Aucune salle de cinéma, à l’exception du Grand Rex, ne peut contenir autant de spectateurs », explique-t-il. Ce soir-là, l’affluence a failli déborder les organisateurs et les a obligés à ouvrir trois caisses simultanément pour absorber le flot des familles venues en masse. La preuve que le cinéma reste une expérience collective unique ».| Ащኡςоврεኛ ሗ ыглεշ | ዢφαኪα оրաረуηаջец аծխлከየεնω | Υсрուхυ ቭርйоπ ኔեφ | Օвры уψጎц ջοчիчавро |
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| Еπեհի аς дрα | Я и ዔипий | Կεлуρегл иጽխջ кጣլዴкрուս | ያεшէ ቩτεкամас χиշիпፄку |
| ዙтиγ աζωկθтр | Тулуքа дօ եщևլеσ | Яዧофи ωፕаኡነτ | Αвθμ ቫеψ эζаզ |
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